Portes Ouvertes des Ateliers de Ménilmontant

Name: Portes Ouvertes des Ateliers de Ménilmontant
Start: 2024-09-26T14:00:00+02:00
End: 2024-09-29T20:00:00+02:00
Location: 43 Rue des Panoyaux, 75020 Paris, France (rez de jardin au fond à gauche)

Schedule

Thu Sep 26 2024 at 02:00 pm to Sun Sep 29 2024 at 08:00 pm

UTC+02:00

Location

43 Rue des Panoyaux, 75020 Paris, France (rez de jardin au fond à gauche) | Paris, IL

Vous êtes invité à venir pour la présentation des oeuvres
“LA DANSE MACABRE DU 7ÈME CONTINENT”
en vue d'une Exposition-spectacle dansée sur le 7ème continent, la mer de plastique. Porteur du projet Olivier DE SCHRYNMAKERS
de l’association Art Contre Culture
Suite à l’écriture d’une série d’articles de recherche avec le Conservatoire National des Arts et Métiers sur le thème de la mort : “La mort dans l’art au regard du travail personnel de l’artiste” et “La mort dans l’espace public”, j’ai poursuivi ma recherche par un article en vue d’aboutir à une création et un spectacle sur le thème de “la danse macabre du 7ème continent”.
Partant d’un imaginaire issu d’une peinture murale du XVème siècle, la Danse Macabre datée de 1424 fait se mouvoir avec ironie, les squelettes avec les vivants figés dans leur statut social. La peinture originelle est comme sous-titrée d’un texte d’avertissement. Je souhaite donner une portée contemporaine à une création artistique, en faisant appel à tous les arts, avec pour base les conceptions ironiques et morales de la Danse macabre.
J’aborde le projet artistique de la Danse macabre, en lien avec une catastrophe écologique actuelle dénommée le 7ème continent, une accumulation de déchets plastiques qui s’étale dans plusieurs océans. Porté par le 7ème continent, le mouvement de la danse est constitué par les monstres marins d’aujourd’hui. Composés essentiellement de déchets, ils forment une mer de plastiques. C’est une fresque contemporaine portée par la musique et la poésie où la danse se propose d'être le mouvement et un hymne à la peinture.
Les questions d’aujourd’hui portées par l’Histoire où l’homme aime à se faire peur, sont représentées abstraitement par les mobiles, la peinture et les projections. L’écriture commence toujours par des images et c’est la peinture qui est sacralisée. Ce besoin d’être au bord du précipice pour se sentir vivre sera-t-il le détenteur d’une action de sauvetage ?
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