Hydro-Imaginaries : A Speculative Eco-Fiction / une écofiction spéculative

Hydro-Imaginaries: A Speculative Eco-Fiction
Instructors: Ana Laura Richter and Eva Garibaldi (Swamp_Matter)
Location: Artengine (67 Nicholas Street, Ottawa)
Duration: 2h | Participants: 10

Hydro-Imaginaries is a two-hour workshop exploring speculation, storytelling and eco-fiction as tools for reimagining our entanglement with ecological systems. Grounded in a practice of working with unstable landscapes, the workshop takes water bodies as entry points for rethinking human and more-than-human relations within the context of global ecological change. Together, we will reflect on how water connects us to place, memory and climate shifts.

By dreaming radical, utopian futures, participants are invited to step outside extractive logics and reconnect with the aliveness of the world around us. Through guided exercises in storytelling and speculation, the group will co-create future scenarios rooted in ecological imagination.

We will trace overlaps, contradictions and emergent patterns in participants’ contributions, weaving them into a shared narrative of possible futures. The outcome is not a fixed product but a collective experience: a temporary network of stories, images and speculative worlds linking personal perspectives to global urgencies.

Participants will leave with tools to re-engage with their surroundings and to imagine otherwise in a burning world.

Workshop Structure:

• Preparatory reading of a short text (approx. 20 pages) and reflection on a chosen water body (personal, local, symbolic)
• Introduction

• Guided exercises in speculative storytelling and eco-fiction
• Mapping overlaps, contradictions, and fascinations to generate collective imaginaries of future worlds
• Reflection

The workshop will be held in English.

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Hydro-Imaginaries : une écofiction spéculative
Animatrices : Ana Laura Richter et Eva Garibaldi (Swamp_Matter)
Lieu : Artengine (67, rue Nicholas, Ottawa)
Durée : 2 h | Participant·e·s : 10

Hydro-Imaginaries est un atelier de deux heures qui explore la spéculation, le récit et l’écofiction comme outils pour réimaginer nos interdépendances avec les systèmes écologiques. Ancré dans une pratique liée aux paysages instables, l’atelier prend les étendues d’eau comme point de départ pour repenser les relations entre humains et plus-que-humains dans le contexte des bouleversements écologiques mondiaux. Ensemble, nous réfléchirons à la manière dont l’eau nous relie au territoire, à la mémoire et aux mutations climatiques.

En rêvant des futurs radicaux et utopiques, les participant·e·s sont invité·e·s à s’extraire des logiques extractivistes et à se reconnecter au caractère vivant du monde qui nous entoure. À travers des exercices guidés de narration et de spéculation, le groupe co- créera des scénarios d’avenir enracinés dans l’imaginaire écologique.

Nous suivrons les recoupements, contradictions et motifs émergents dans les contributions des participant·e·s, afin de les tisser en un récit commun de futurs possibles. Le résultat ne sera pas un produit fixe, mais une expérience collective : un réseau temporaire d’histoires, d’images et de mondes spéculatifs reliant les perspectives individuelles aux urgences globales.

Les participant·e·s repartiront avec des outils pour se reconnecter à la vitalité de leur environnement et pour imaginer autrement dans un monde en feu.

Structure de l’atelier :

• Lecture préparatoire d’un court texte (environ 20 pages) et réflexion autour d’une étendue d’eau choisie (personnelle, locale, symbolique)
• Introduction
• Exercices guidés de narration spéculative et d’écofiction
• Cartographie des points de vue, contradictions et fascinations afin de générer des imaginaires collectifs de mondes futurs
• Réflexion

L’atelier se déroulera en anglais.

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