Faux plis x Radio Spirale : recherche, résidences et synthèse

Name: Faux plis x Radio Spirale : recherche, résidences et synthèse
Start: 2024-11-06T18:30:00-05:00
End: 2024-11-06T20:30:00-05:00
Location: Cinémathèque québécoise

Schedule

Wed Nov 06 2024 at 06:30 pm to 08:30 pm

UTC-05:00

Location

Cinémathèque québécoise | Montreal, QC

Participant·e·s : Louise Déry, Marie-Hélène Leblanc, Emmanuelle Léonard, Geneviève Chevalier, Anahita Norouzi
Animation : Katrie Chagnon

Lieu : Cinémathèque québécoise
Date : 6 novembre 2024, 18h30 – 20 h 30
Entrée libre
Gratuit

Contextes privilégiés de création et d’expérimentation, les résidences d’artistes nourrissent également la recherche et le dialogue avec les territoires où elles se déroulent. En quoi ces lieux peuvent-ils devenir de véritables laboratoires d’idées, au croisement des disciplines artistiques et scientifiques ? Comment les investigations qu’ils accueillent contribuent-elles, par exemple, à repenser le travail horticole, l’histoire naturelle, l’ornithologie, les explorations botaniques ou encore l’héritage impérialiste de l’art des jardins ? Mais d’abord, que signifie vraiment « résider », pour un·e artiste ?
Coprésenté par la Galerie de l’UQAM, la Galerie UQO et Radio Spirale, cet évènement rassemblera des artistes ayant séjourné aux Jardins de Métis dans le cadre de « Faux plis par hypothèses », un projet commissarié par Louise Déry et Marie-Hélène Leblanc. Un programme de courts métrages réalisés en résidence (30 min) sera suivi d’une discussion avec les artistes et les commissaires, qui proposeront une synthèse du projet, dépliant et repassant ses résultats.

Cette rencontre vise à engager une réflexion sur les enjeux de la recherche artistique, de l’accès à la création et de l’engagement communautaire, tout en réfléchissant à la place des artistes et commissaires chercheur·euse·s dans les différents champs de savoirs. Rejoignez-nous à la Cinémathèque québécoise pour une exploration collective de ces questions qui façonnent le paysage artistique d’aujourd’hui et nous invitent à reconsidérer notre rapport à l’espace de résidence et à ses possibles.

Photo : Geneviève Philippon